Page:Fleischmann - Le Roi de Rome et les femmes, 1910.djvu/129

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Il dit qu’elle y consentit aussitôt après cet entretien, qui se place dans les derniers jours de novembre. Ou la mémoire de Prokesch le trompe, ou la comtesse l’a abusé, car il est un fait certain, prouvé par ses lettres, qu’elle était encore à Vienne le 15 décembre suivant[1]. De même Prokesch ne fait aucune allusion aux ennuis qu’elle aurait eu à subir et qui peuvent se rattacher à son aventure.

Loin de là ! Il assure que la police ne fut au courant de rien, et en cite, pour preuve, un entretien qu’il eut avec Metternich, peu après la mort du duc.

  1. Frédéric Masson, Jadis et aujourd’hui ; deuxième série... ; déjà cit., p. 51.