Page:Fleischmann - Le Roi de Rome et les femmes, 1910.djvu/202

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situer. Or, de quelque côté qu’on l’envisage, elle s’enferme dans cette constatation : de 1829 à 1832 Fanny est la maîtresse de Gentz. Mais le galant Prussien a-t-il joué le rôle dont on l’accuse ? Pour le défendre comme pour l’accabler, tout manque. Une chose seule plaide en sa faveur : son amour pour Fanny. Il l’a aimée de toute la violence de sa vieillesse cabrée, de toute l’ardeur de désirs impérieusement réveillés, en vieillard enfin, – et Fanny avait dix-neuf ans. Sa correspondance avec elle est active, les dates y sont des points de repère précieux. Aucune d’elles ne se prête à