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elle le roman et la légende auront raison ! On ne la croira pas parce qu’un touchant tableau serait ainsi rayé et effacé de la vie du captif de la Sainte-Alliance. On ne la croira pas, parce qu’à ce Jeune Homme il faut la consolatrice que toutes les femmes sensibles de son temps ont rêvé être un jour pour lui, et parce qu’enfin l’amour d’une danseuse, ses voiles et ses gazes, enveloppent d’un nuage aérien et charmant, une ombre qui s’efface dans les limbes du souvenir[1]
- ↑ Pour le reste de la vie de Fanny Elssler, nous renvoyons le lecteur au remarquable et pittoresque ouvrage de M. Auguste Ehrhard, Une vie de danseuse... ; déjà cit., auquel nous avons emprunté les éléments de ce chapitre, et lequel conclut, comme nous, à la condamnation de la légende et du roman.