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Page:Fleischmann - Le Roi de Rome et les femmes, 1910.djvu/215

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« A. Examen extérieur. — Le corps entièrement émacié ; outre les taches bleues particulières aux cadavres, on a trouvé les traces des sangsues appliquées au cou, et, sur le sommet de la tête ainsi que sur la poitrine, celles de frictions, instituées avec la pommade émétique ; aux deux bras, des taches de vésicatoires. La caisse de la poitrine était en proportion du corps étroite et longue ; le sternum aplati ; le cou long.


    de Lombardie et de Venise, de Dalmatie, de Croatie, d’Esclavonie, de Gallicie, de Lodomérie et d’Illyrie, archiduc d’Autriche, duc de Lorraine, de Salzbourg, de Styrie, de Carinthie, de Carniole, de la haute et basse Silésie, grand-prince de Transylvanie, margrave de Moravie, comte princier de Habsbourg et du Tyrol, etc., etc. ; savoir faisons :
      « Comme nous nous trouvons, par suite de l’acte du Congrès de Vienne et des négociations qui depuis ont eu lieu à Paris avec nos hauts alliés pour son exécution, dans le cas de déterminer le titre, les armes, le rang et les rapports personnels du prince François-Joseph-Charles, fils de notre bien-aimée fille Marie-Louise, archiduchesse d’Autriche, duchesse de Parme, de Plaisance et de Guastalla » (on remarquera que le nom du père est (volontairement) omis dans cette patente, ce qui faisait dire à Madame Mère, ainsi que le rapporte le baron Larrey, après avoir lu l’acte : — En vérité, nous voilà trop vengés de la Maison d’Autriche ! Jamais je ne me serais imaginé qu’en donnant Marie-Louise à mon fils on avait cru en faire, non son épouse, mais sa maîtresse…) « nous avons résolu à cet égard ce qui suit :