Page:Fleischmann - Le Roi de Rome et les femmes, 1910.djvu/275

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C’est l’étiquette, et il s’y faut soumettre. L’archiduchesse ne s’y est-elle jamais dérobée et par rien n’a-t-elle à chercher à consoler la trahison de ses jeunes rêves ? La légende n’hésite point à répondre par l’affirmative, mais puisque la légende est « déshonorante » ? Ce n’est cependant