Page:Fleischmann - Le Roi de Rome et les femmes, 1910.djvu/86

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vagissant, il demandait sa santé et sa force au sein de sa nourrice. Il meurt dans ce retour vers son passé et recueille, autour du grabat de l’agonie, la pitié d’un amour qui le salua au matin du grand Empire où il naquit, parmi les pourpres et à l’ombre dorée des aigles paternelles.