Page:Fleury - Littérature orale de la Basse-Normandie, 1883.djvu/304

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

28o LITTÉRATURE ORALE

vn

SUITE DE l'histoire DE CÉCILE

La guerre étant finie, Eir s'en fut à Paris,

Faut craire. Et tout droit chez son père, Demandant à loger, Comme un beau chevalier

De guerre.

EU' dit tout en entrant : J'm'en viens loger céans.

Mes bottes. Bien vit' qu'on les décrotte, Que l'on panse mon cheval. Et puis nous ferons régal,

Mon hôte.

Mais pendant tout le souper, Le pèr' ne fait que pleurer

Sa fille, Sa sœur, d'une humeur gentille,