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Page:Floquet - Études sur la vie de Bossuet, tome 3.djvu/574

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Dauphin|page= 443}}

Pour l’office de gouverneur, on parla du maréchal de Clérembault, de Turenne, du duc de La Rochefoucauld 
 449
En 1668, Louis XIV songe à choisir un gouverneur pour le Dauphin 
 450
Le duc de Montausier est préféré 
 453
Caractère honorable de Montausier, son savoir 
 454
La peste on Normandie. Dévouement de Montausier, gouverneur de cette province 
 456
Montausier déclaré gouverneur du Dauphin. (21 septembre 1668.) 
 457
Milet de Jeurre est nommé sous-gouverneur du Dauphin. (22 septembre 1668.) 
 458
Périgny nommé précepteur deux ans avant que Montausier fût nommé gouverneur 
 ib.
Succès des soins donnés au Dauphin par le président de Périgny 
 459
Montausier suscite des dégoûts à Périgny 
 460
Périgny obtient que Daniel Huet ne lui soit point adjoint, comme le voulait Montausier 
 462
Périgny se voue à des travaux excessifs, et succombe à la fatigue, 1er septembre 1670 
 463
Les poëtes prédisent à Bossuet qu’il sera précepteur du Dauphin. — Gui Patin le prévoit 
 466
Cent prétendants sollicitèrent le poste de précepteur 
 468
Au roi est présentée une liste de sujets dignes du poste vacant, qu’ils ne demandaient pas 
 ib.
MM. de Bassompierre et de Roquette 
 469
Pourquoi Pellisson, résolu d’abjurer, différa 
 ib.
Montausier désirait la nomination de Daniel Huet 
 470
Motifs propres à empêcher Louis XIV de nommer Huet précepteur 
 472
Louis XIV résolu de donner un évêque pour précepteur à son fils 
 473
Clément IX avait témoigné désirer que le Dauphin eût pour précepteur un évêque 
 474
Le poëme Delphinus, par Léon Bacoüe 
 475
Louis XIV avait connu et apprécié Bossuet par ses prédications 
 476
S’il est vrai que Montausier excita Louis XIV à nommer Bossuet précepteur du Dauphin 
 478
Desseins de Montausier en indiquant Huet, Ménage et Bossuet 
 479
Louis XIV déclare à Montausier qu’il a choisi Bossuet. Huet nommé sous-précepteur 
 481
Bossuet objecte ses devoirs d’évêque, inconciliables avec les fonctions de précepteur 
 482
Louis XIV engage Bossuet à se faire sacrer, et à suivre, ensuite, l’inspiration de sa conscience 
 482 et 483