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V.
LE LÉONIDAS.
J’avais arrêté mon passage à bord du trois-mâts américain, le Léonidas. Le capitaine m’envoya prévenir que le départ était fixé au dimanche 1er septembre 1833, à midi.
Je me levai, ce jour-là, de très grand matin, n’ayant pas de domestique pour m’aider à faire mes malles et autres préparatifs de voyage. J’eus