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VI.

ISLAY.


Le jour de notre arrivée, je ne pus guère voir la côte du Pérou. Au moment où nous en approchâmes, il tombait une petite pluie comme un brouillard ; elle nous dérobait la vue du rivage. La mer était calme ; et, sans un bâtiment anglais qui envoya sa chaloupe pour nous remorquer, je ne sais comment nous serions en-