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encore sa naïve estime pour la longue vie.

« Je finis par déclarer que la grande vieillesse pouvant être si utile et si agréable aux hommes, j’aurais cru manquer de charité si je n’avais pris soin de leur apprendre par quel moyen ils peuvent prolonger leurs jours… ; et aussi tout ce que vaut une félicité du sein de laquelle je ne cesserai point de leur crier : Vivez, vivez longtemps ! »