Page:Focillon - L’Art bouddhique.djvu/10

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Mon éminent collègue M. Maurice Courant a bien voulu revoir, dans ce volume, l’orthographe des noms chinois et japonais : qu’il trouve ici l’expression de ma vive gratitude. Je remercie M. Gustave Le Bon et M. A. Foucher, ainsi que le Comité de l’Asie française, qui m’ont permis de reproduire quelques planches de leurs savantes publications. Enfin la maison Heinemann, de Londres, m’a autorisé à faire usage de plusieurs belles photographies empruntées au livre de Fenellosa, L’Art en Chine et au Japon, devenu classique : elle a droit à ma sincère reconnaissance.