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Jacqueline, je m’en souviendrai longtemps…

Mon oncle tout d’un coup se leva, et venant se placer devant l’échelle sur les marches de laquelle j’étais assise, mes jambes sortant de la jupe, il me caressa les mollets et m’embrasa les genoux.

Jamais encore mon oncle ne m’avait caressé de cette façon-là, avec tant d’ardeur.

Je compris tout de suite où il désirait en venir, car j’étais dès cette époque suffisamment avertie. Aussi, profitant de la position de mon oncle tenant son visage tout près de mes jambes, je les écartai doucement, faisant remonter ma jupe en découvrant la chair de mes cuisses…

Ah ! Jacqueline chérie, si tu