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Page:Fontanges - Délicieuses voluptés, 1935.djvu/88

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Et voici que le jeune homme était impatient de voir, maintenant, Colette de Verneuse, beaucoup plus que la douce Jacqueline !…

…Mais non ! Jacqueline, n’aie pas peur, et fais-moi tomber cette robe. À bas cette combinaison avec le pantalon même fendu ! À bas cette chemise ! et viens donc près de moi, nue complètement, comme moi-même ; et que nos corps se pressent, et que nos chairs se mêlent voluptueusement ! Allons, viens, ma bien-aimée !

Après tout, pourquoi pas ? Et pourquoi rester ainsi habillée, même d’une robe très courte et très légère, près du corps merveilleusement nu de la jolie Colette ?