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Comme il sera plus agréable de s’allonger nue aussi, près d’elle.

Allons-y !… Et vivement, la douce Jacqueline fait tomber tous ses voiles et apparaît telle une merveilleuse petite Vénus antique, aux yeux extasiés de la grande cousine…

— Ah ! ma Jacqueline ! comme tu es jolie ! Et comme ta chair est douce ! Et comme tes seins sont fermes ! Tiens, vois comme ils se dressent sous ma caresse… Et tes fesses mignonnes ! Comme j’aime les palper ainsi, doucement, très doucement, avant d’y poser mes baisers. Ah ! comme ta peau est veloutée, et combien elle est douce à mes lèvres !…

Les deux jeunes filles se pressent amoureusement, échangeant