« La dicte testatrice veult et ordonne que chaque année, à perpétuité, au jour et feste de la Visitation de la Vierge, 2 juillet, il soit célébré un service, distribué du pain bénit pour 40 sous et faict prières nominalles pour le repos de son asme et pour ses deffuncts père et mère et amis.
« Veut et désire qu’il soict célébré à son intention 20 messes en basse voix en la chapelle N.-D. de Beauvais. »
Les 10 octobre 1682 et 6 décembre 1684, N. H. Antoine Gault Sr et la Grand-Maison, veuf de Marie-Marthe de la Martinière, voyant sa fin prochaine, dicta à son tour ses dernières volontés.
« Par cet acte il veult et ordonne qu’il soict, après son décès, célébré dix messes pour le repos de son asme en la chapelle de N.-D. de Beauvais, ainsi qu’à l’intention de sa defuncte épouse, en plus de soixante-deux messes privilaigiées[1]. »
Comme il y eut un grand nombre de mourants à réclamer ainsi la protection de la sainte Mère
- ↑ Le même fit également en l’église du Teil la fondation du Stabat Mater pour tous les vendredis, et celle des Litanies de la sainte Vierge pour chaque samedi de Carême ; mais l’Official transféra le chant du Stabat à l’issue des vêpres de chaque dimanche de Carême et celui des Litanies aux six dimanches du temps pascal. − M. de la Grand-Maison décédé le 27 janvier 1685