Page:Forneret - Vapeurs, ni vers, ni prose, 1838.djvu/85

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ELLE.

 
Vous ne savez son nom ? — Celle pour qui je chante
La vie d’amour de feu, puis après est mourante :
C’est un arbre en verdeur, un soleil en éclats,
C’est une nuit de rose ou languissants ébats.
C’est un torrent jeté par un trou de nuage ;
C’est le roi des lions dégarni de sa cage :