éd ittouḳḳet, our iettouḳḳet) ‖ toquer (de manière à lui faire « toc-toc ») [un mortier (en y pilant qlq. ch.) ; qlq. ch. (en le pilant dans un mortier)] ‖ a aussi le s. pas. « être toqué » ‖ peut avoir pour suj. une p. ou un pilon. Ne peut avoir pour rég. dir. qu’un mortier ou son contenu ‖ peu us.
— tîteḳḳoût (Ta. 8) ⵜⵜⵈⵜ va. f. 16 ; conj. 255 « tîġreffoût (Ta. 8) » ; (itîteḳḳoût, our iteteḳḳout) ‖ toquer hab. ‖ a aussi le s. pas.
— ătaḳḳou ⵜⵈⵓ sm. nv. prim. ; φ (pl. iteḳḳoûten ⵜⵈⵜⵏ), daṛ teḳḳoûten ‖ fait de toquer ‖ a aussi le s. pas. « fait d’être toqué ».
— setteḳḳet (Ta. 2) ⵙⵜⵈⵜ va. f. 1 ; conj. 134 « seġġereffet (Ta. 2) » ; (isteḳḳet, iesîteḳḳet, éd isetteḳḳet, our isteḳḳet) ‖ faire des appels de langue à [un chien] ‖ ne peut avoir pour suj. que des p. et pour rég. dir. que des chiens.
— sîteḳḳoût (Ta. 8) ⵙⵜⵈⵜ va. f. 1.16 ; conj. 255 « tîġreffoût (Ta. 8) » ; (isîteḳḳoût, our iseteḳḳout) ‖ faire hab. des appels de langue à.
— ăsetteḳḳou ⵙⵜⵈⵓ sm. nv. f. 1 ; φ (pl. isetteḳḳoûten ⵙⵜⵈⵜⵏ), daṛ setteḳḳoûten ‖ fait de faire des appels de langue à.
ⵜⵈ éteḳ ‖ v. ⵜⵗ éteḳ.
— téteḳḳeout ‖ v. ⵜⵗ éteḳ.
ⵜⵆⵎ etk̤em ⵜⵆⵎ ✳ va. prim. ; conj. 26 « eksen » ; (itk̤ĕm, itk̤âm, éd itk̤em, our itk̤im) ‖ rendre malade d’une indigestion ‖ a aussi les s. pas. et pron. « être malade d’une indigestion » et « se rendre malade d’une indigestion » ‖ très peu us.
— ebk̤em ⴱⵆⵎ va. prim. ; conj. 26 « eksen » ; (ibk̤ĕm, ibk̤âm, éd ibk̤em, our ibk̤im) ‖ m. s. q. le pr. ‖ très peu us.
ⵜⵍ ettel ⵜⵍ va. prim. ; conj. 27 « eddel » ; (ittĕl, ittâl, éd ittel, our ittil) ‖ 1. enrouler [une ch. flexible A] (sur une ch. B, à une p., un an., une ch.) ; 2. enrouler (entourer de qlq. ch. d’enroulé) ; 3. mettre com. enveloppe [une ch. flexible A] (sur une ch. B) ; 4. envelopper [une ch. B] (au moyen d’une ch. flexible A) ‖ a aussi le s. pas. et pron. « 1. être enroulé ; 2. être enroulé ; 3. être mis com. enveloppe ; 4. être enveloppé » et « 1. s’enrouler ; 2. s’enrouler ; 3. se mettre com. enveloppe ; 4. s’envelopper » ‖ d. le s. 1., peut avoir pour suj. une p., un serpent, une plante grimpante. Ne peut avoir pour rég. dir. qu’une ch. flexible capable d’être enroulée sur qlq. ch. ou sur elle-même. Ce sur quoi le suj. enroule le rég. dir. est à l’abl. et accompagné d’une prép. qui est hab. foull « sur ». Si ce sur quoi le suj. enroule le rég. dir. fait partie d’une p., d’un an., ou d’une ch., ceux-ci se mettent au datif. Se dit, p. ex., d’un h. qui enroule une corde, une ficelle, un fil, sur un bâton ou sur eux-mêmes, qui enroule une bande sur une blessure ou un membre malade, qui enroule une étoffe sur sa tête com. turban ; d’un serpent qui enroule son corps sur une branche ou sur lui-même ; d’une plante grimpante qui enroule sa tige sur qlq. ch. ou sur elle-même ; etc. ‖ d. le s. 2., peut avoir