Page:Fournier - Mon encrier (recueil posthume d'études et d'articles choisis dont deux inédits), Tome I, 1922.djvu/42

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ET VIVE L’INSTRUCTION PUBLIQUE !

se de leur poitrine, et la sérénité d’une conscience droite respire dans leurs poumons avec l’odeur du gin en draught.

Mais qui sait, quand on aura fait leur éducation, qui sait ce qu’ils ne sauraient pas accomplir ?…

En vérité, on peut encore rêver de beaux jours pour notre pays, et tant qu’il y aura dans les cabarets louches de la rue Saint-Paul des gens qui ne savent pas lire, M. Langlois ne devra pas désespérer du succès de ses chefs, et partant du progrès de l’Instruction publique…

C’est du Port, maintenant, que nous vient la lumière.