parce qu’à côté des hommes d’action dont le prosélytisme a les vastes régions de notre patrie pour se mouvoir, dans l’ombre du foyer domestique, « l’amour, la plus grande des choses, et une mère, le plus grand des êtres » veillent. Elles se dressent les mères vigilantes, non seulement pour défendre « l’héritage lourd de gloire qu’elles ont accepté de transmettre à leurs fils » (Madeleine), mais encore pour enseigner à ces mêmes fils comment, pourquoi et jusqu’où nous devons l’aimer, afin de pouvoir ensuite répéter les paroles d’une grâce exquise que je voudrais être poète et musicien pour en faire une berceuse nationale : « Dormez en paix, mes aïeules ; vos filles veillent… »
Elle demeurera donc à jamais, parce qu’après l’avoir aimée depuis… toujours, pour les services qu’elle a rendus à notre Foi, nous l’aimerons davantage, maintenant qu’elle a souffert pour Elle et pour nous.
Nous l’aimerons aussi pour nous-mêmes, puisqu’elle est le merveilleux instrument à nous donné par la Provi-