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Page:Fréchette - Poésies choisies, I, 1908.djvu/326

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Oublions les jours de tempêtes ;
Et, mon enfant, puisque aujourd’hui
Ce drapeau flotte sur nos têtes,
II faut s’incliner devant lui.

― Mais, père, pardonnez si j’ose...
N’en est-il pas un autre, à nous ?
― Ah ! celui-là, c’est autre chose :
Il faut le baiser à genoux !