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Page:Fraigneau - Rouen Bizarre.djvu/210

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Ils se rendent dans les principaux moulins de Rouen et, avec une faible rémunération offerte aux gardiens, on rapportent une moisson assez abondante d’« annelées » que digère très-bien le volatile.

Au bout d’un mois, pour les oiseaux qui ont des dispositions naturelles ; de six semaines pour les « philistins », le sifflage commence et, avec lui, la vente.

Il y a trois ou quatre dresseurs de merles à Rouen. Ils habitent tous au dernier étage de vieilles maisons et n’ont pas d’enseignes à leur porte.