Page:Fraigneau - Rouen Bizarre.djvu/374

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Trêve de plaisanteries ! Depuis trop longtemps ce boniment s’éternise, et j’entends le patron s’écrier que le spectacle finira trop tard et que, tout à mes souvenirs du passé, j’oublie de moucher les chandelles.

Laissez-leur prendre un pied chez vous,
Ils en auront bientôt pris quatre,

pourrait-il me dire avec justice. Avant de rentrer derrière la toile, il me permettra bien, cependant, de remercier tous ceux qui, dans ce modeste ouvrage fait à coups de souvenirs, m’ont aidé de leur collaboration, et particulièrement l’impresario-marionnettiste Linoff, qui a mis si gracieusement sa mémoire infatigable à ma disposition. Tel qu’il est, avec ses fautes, ses défaillances, ses redites et ses lacunes, ce petit travail se recommande à vos bontés et à votre indulgence.

Mesdames et Messieurs, c’est pour avoir l’honneur de vous remercier. Si vous êtes contents et satisfaits, faites-en part à vos amis et connaissances.

Georges DUBOSC.