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Page:Fraigneau - Rouen Bizarre.djvu/69

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trouver leurs inspirations les plus sublimes dans ce musée incomparable de monumens, qui fait dire tant de bêtises aux Guides, et qui pourrait à la longue faire naître la conception du beau, même dans l’âme d’un fils d’Albion.

Les flèches de nos églises, qui portent jusqu’au ciel le chant de triomphe des hommes qui les ont construites ; les splendeurs du passé jointes aux progrès du présent, tout ce qui est grand, tout ce qui est beau, tout ce qui est fait pour élever l’esprit, d’un côté !

De l’autre, la boue, l’immondice engendrant la larve horrible.

Le « soleil, » noir, déguenillé, atroce, souffletant du plat de sa sandale éculée la gloire de notre sol, et crachant sa chique sur nos vieux souvenirs.