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Page:François d’Aure-Geneviève ou L'innocence reconnue tragédie, 1670.djvu/11

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honorable condition conformément au bon plaisir de Dieu, sont reconnues par l'Église dans un rang très célèbres du sacré Catalogue des Saints, comme s'étant acquise la glorieuse fin de leur vocation, et le dernier effet de leur éternelle prédestination.

Je considère, MADAME, en votre brave Époux le zèle incomparable de l'époux de ma sainte Princesse, le généreux Sifroy, dans l'emploi de leurs armes contre les Infidèles, où la Chrétienté les a vus concourant (en sa faveur) à se prêter et rendre par une sainte émulation les secours nécessaires au soutien de la Foi. Voilà Sifroy l'Époux de Geneviève, assistant la France ; et voici en échange le vôtre assistant l'Allemagne : en sorte qu'on