Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/101

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Le tapis ne me répond pas.

Heureusement de la guirlande,
Qui, luxuriante, resplendissait en son milieu,
J’ai vu, sous les pleurs de mes yeux,
J’ai vu germer, si blanche, une rose éclatante :

La belle rose je cueillis,
Et fi,
Fi maintenant d’une timidité morose :
Humble neveu de tante Rosa, de tante Rose,

Quand on est poète et Français,
On sait
Ouvrir les cœurs en offrant une rose.