Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/135

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Douloureusement marqués de noir,
Nos chers départemerils de l’Est,
— Géographie,
Ô ma patrie ! —
J’ai connu des papiers buvards graves et modestes.

Tous rougiraient en te considérant,
Frère indigne, ô papier buvard intempérant !

— Mais quoi, belle amie, pour en faire vos papillottes,
C’est lui que vous avez choisi ?
Ne voyez-vous pas qu’il est gris ?
Il va vous dire, belle amie,
À l’oreille, des choses inconvenantes et sottes…

Vraiment ? Je ne vous aime pas ?
C’est le buvard qui dit cela ?
Ne prenez pas cet air sévère ;
Vous savez bien, surtout en un pareil état,
Que le papier buvard comprend tout à l’envers

Allons, jetez ce buvard-là :
S’il faut faire des papillotes,