Aller au contenu

Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/14

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

clair pour n’inquiéter et ne décourager personne, — sans doute à la merci des plaisantins qui l’interpréteront volontairement de façon triviale, et ridicule, et basse, mais qu’importe : vous aurez donné un secret à garder à la Foule, et par ainsi la Foule se sent meilleure, prend conscience d’une noblesse et d’une dignité plus hautes, fière d’être dans le secret !

P.-L.-M. et sursum corda !

C’est dans cet esprit que je vous demanderai la permission de vous embrasser, cher Monsieur Noblemaire, — confraternel et reconnaissant.

F.-N.