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LES DRAMES DE L’AMOUR
Je revois la grande salle claire, aux carreaux luisants,
Les rideaux blancs,
Et la table de bon accueil,
Les chaises de paille, le fauteuil
Pour l’aïeul,
Et le dressoir, ignorant de l’orgueil
Des pesantes argenteries,
Rustique, et mettant sa seule
Coquetterie
À la gaîté des faïences fleuries.