Influence mystérieuse des temps d’orage…
La petite poule que l’on délaisse dans un coin,
Pourquoi ? mais je n’ai pas besoin
De vous en dire davantage, —
— Cott ! cott ! cott ! — a chanté la petite poule,
— Cott ! cott ! cott ! —
(Car c’est ainsi que les poules roucoulent…)
— Cott ! cott ! cott ! cott ! — entend le coq ;
Un frisson agite son être :
Cette voix,
Il l’entend, c’est certain, pour la première fois,
Et son cœur cependant a cru la reconnaître :
— Poule, poule, il faut que je voie
Ton visage cochinchinois ! —
Mais quoi,
Point n’est le temps encor de mettre,
Hélas ! le bec à la fenêtre ;
Car le cadran implacable et méthodique
Indique
Qu’il n’est pas l’heure de chanter :
Il reste encor à patienter
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