Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/235

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Portraits discrets, et qu’on ne regardait
Qu’à la campagne, l’après-midi, quand il pleuvait…

Maintenant, jusqu’au fond de villages obscurs,
Des côtes de la Manche à la Côte d’Azur,
Ses traits resplendiront aux murs !

                        ENSEMBLE

        À l’auberge, à côté des règles
        Du jeu de la poule au billard,
        Sourira le portrait de l’aigle
        Du barreau de Montélimar,
                        De l’aigle
        Du barreau de Montélimar !

Et aussi, dans la clarté éblouissante des vitrines,
Avec les souverains d’Europe,
Le voici partout qui voisine,

Un peu gêné, tout de même, de sa redingote.

Qu’en pensera
Victoria ?