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Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/47

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Et si les rails ont l’âme aimante,
Ils n’ont, hélas ! pour assouvir
Leur désir,
Que cette union momentanée et apparente,
Dont il faut bien qu’ils se contentent,

Le baiser Lamourette des plaques tournantes.