Page:Froger - À genoux, 1878.djvu/136

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Quel roc as-tu donc, femme, au fond de tes entrailles ?

C’est ton cœur qui m’a pris dans ses horribles mailles,
Dans le filet funèbre où je dors à présent.
C’est ton cœur, c’est ton cœur, ton cœur stérilisant,
Ton cœur de courtisane impure et non de vierge,
Toujours plein de nouveaux passants comme une auberge,
C’est ton cœur toujours plus affreux toutes les nuits,
C’est ton cœur qui m’a fait le lâche que je suis !