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I

L’INVITATION À LA MORT


 
C’est fini, j’ai dit adieu. Je m’en vais.

Ce monde lubrique et vil est mauvais ;
Ce monde toujours empli de ténèbres
Ne m’a point donné ce que je rêvais.

Prends-moi donc, suprême Ange aux yeux funèbres !
Et remporte-moi dans les cieux promis
Où refleuriront mes rêves célèbres.