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Page:Frollo - Paris qui chante, paru dans Le Petit Parisien, 18 janvier 1898.djvu/13

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Après tout, ces Sociétés folles ne forment qu’un contingent très réduit si on le compare à celui de nos innombrables Associations musicales. Ce sont celles-ci qui nous donnent la vraie physionomie du Paris qui chante, du Paris lyrique, si profondément voué au culte et à l’esprit de la chanson.

JEAN FROLLO