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Page:Frollo - Paris qui chante, paru dans Le Petit Parisien, 18 janvier 1898.djvu/5

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D’autres Sociétés lyriques ont choisi pour vocables des noms de pierres précieuses. Ce sont l’Émeraude du boulevard de Strasbourg, le Saphir du boulevard de Sébastopol, la Topaze du boulevard Barbès, la Turquoise de la rue Doudeauville.

Les noms de fleurs abondent. Il y a la Pervenche du cinquième, Rose et bluet de la Villette, l’Iris de la rue Saint-Charles, la Violette de l’avenue de Clichy, le Chrysanthème de l’avenue de Montsouris, le Dahlia de la place du Danube, la Pâquerette de la rue Rochechouart, le Bluet de l’avenue du Maine, la Parisette de la galerie Montpensier, le Mimosa de la rue de la Tournelle, le Jasmin de Nogent, le Camélia blanc d’Alfortville, le Bluet d’Asnières, le Myosotis et la Marguerite du Perreux, le Muguet du Parc-Saint-Maur.

Comment ne pas citer aussi la Cigale de la Bastille, certainement la bien nommée,