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nIl. u SI. u . , fJgtiliie d, E.ftre eœaré du feu. ou u,~ duvin "’•Ji, ~on1amilJefeu avec an paen fen :ir l’aaioo par i’ÏtrourJ.emmr, ~Jer cbaad mj. r.ier all~U~lé•.cL.t pain-.,lfjll, de Ja riaQde br")JJt. cpnd dafc . . k~, cplldc :.D le~ ilsfonf~c :uia. . ’
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plus da~ :~~. atpr a diup ::1ble- On.dit au·IJi..J ’M., C)l{.cijJcmfear le .~ ..
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Wf !*,W b ;üdè léa bords, il m ;aichc en ,_,., ;...~ de Ce.a’dlpoiouc :.adeat ; mauc"âl·IIDC !brife. ., · maJl’OOs..
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Ba. o s u J. ; fe dit ad& hypabol~pour ûgniber, BRU S ~ 0 T. Cm. Tttme de Marine,· C’dl wuieux I.fdl.1Litlèr ~, 011lue déliautfé•.Le Soleil•r~ · nib ’oo emplit .de feux ci’arti6ce, dé m :&tÏC’cs les canlpigDfS d’Atrique. la èbair llr~ clans le pot. on ~ca, cpa’on attache à derEds vaifiêaux m- ~r :.Jlt dow c :ctte chambre, r’dl une dtue. il a. uoe fuJte DCIJlÏS pour ka biuOer... On l’ap e en quelques lieux & :vre, les JmÎDs Iuy 6r-JtJJt.
. .. . , ;,, fordn. Un Capitaine de •JMs dlpendu quand BR v s LE Il, fe dit~~ en contre-fens’ de raétion il fe lai.tfè ~
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de pluflfU’S chofci qùl paroi_ffenc froides • & ~ ~t B a. v s L o T , fe~ fi&uré :ment d’un morceau de pain , . comen !r de ku. QPnclla ..i gne dl en bourRéon , il de ’fiaade 011 d’autre Chofe , où on a enfermé bien du fel vient une.gc :lée, un vent fi :oill qui la "’~lit· a7a cer- & ..poivre, qui bruOe le goûer du goulu à qui 011 le tlin brouilbrd ou lOUille qui 6r•J.les bleds. la qe. donne à manger.. ·
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~ru.JLdes {oplietl. ~aufc~un certain acide ou falpdlie B RUS tU 1{ E. Cf . Muque qui rdle fur une chofe qw yd CoDtcœ. J’ca boe m ;r.lf ;~lvlkla peau. bruOée. D luy dl rdl :é fùr la jouë des marques de fa b chaux irll)ll la IOilcS. On dit uœiquemcnt à un . , , _,,, voilà fur v~trt habit un trou de br11jblrt. les homme dont le mantaa trempe dans l’au, que kHI Cbar1ataos ~de l’cmguent ~ b ,mflllrt. mantcadr4’ : On dit auf&, ~·un miroir ardcit "’•Jle B R U S Q..U E. adJ. 111 . & . f. Qui eft d un mnpmmpar les_ rayons qu’il ramalé .ou Cfi’il rdltfc :hit clans iOn - ment yjf. qui ~ & cpai agit :avec promp~ n ne foyer.
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bit pat bori anatua œt bOmme-l :a, il a la repartie BR u s LE R , 6Jturémc :nt 1i~, EJbc agité d’une vio- ~ & llt•f.flll. On dit :w11i cb vin llr•fqw, qui lente palJ’wn J’amout , d’imbition, de ddir, d’impacfblpre & piquant. Ce mot vient de l’Italien ou de tience. On peut llr•Jltr d’une chafie amour. St. Paul dit J"Efp :igDOI llr•fo• , qui fagni6e •m ,. 1""’1' , "’"'· qu’il vaut mieux fe marier, que llrlljln. on a dit du M~ lhron de Fcndle, qu’il llr•JIIitd’ambi.tion. iln•Jie du Ba. v SQ..U fi MENT, 3dv. D’une manierebrufque. li dl defrr de EUre telle chcife. c :ettt femme :attend· impaielnparti 6r•{qPibewiki (d) 13 février 2017 à 18:42 (UTC)Wnt & fans dire adiur. re GaX :ral a donment ccluy ’lui la doit meaer au b :d ,.les pic :dlluy •r•f né "’•{tl’"'l"llt fur les ennemis.
lem.
BRUS Q.U ER. v . aa . Fm une inCulte de paroles 1 On dit :w.ai , Br•Jn les )’CUX 1 qqdqg’un , pau dire , quelqu’un , luy répondre d’Qnc maniere brufque , ofen-Faire une chofe en fa prcleacc qu’Ôn {sait bien Juy devoir çante, ou peu civile. Cet homme eft fi violent, qu’il être def :agreable, comme de ageo11er fa femme’. ~ ·
dl fort fujet à l>Tttftf•n ceux qui ont :aft’ :üre à Jur. metaphon : etl : ûrée de la couftiune des Princes Orien- B R U S Q..U E R l E.. (. f . Aétion prompte & inconfatlUX qui aveuglent leurs adets en leur .mea :am. ua fer derée. nfaut exrufer 1es paroles oftiinFta , quand oo duud,auprés des yeux.
ne k dit que par mftwrit& prompcnude. On dit encore, Br•Jltr de rmc :ens devant cp :lqu’un, pour B R U T , v T1 !. adj. Pierre qui v :icm de la c :uriere oa dire, l’idobftrer,. l’adorer, Je Rauer demërurémcnt. de Ja mine, etui n’dl pas polie, ni t :Wlée. Lea dia-Plulieurs Saints ont été m :utyri{ez, paace qu’ils a’ODt manullrffts fe tràuvcnr dam des fablts ou dms des feotc :s PlS ywJu "’"Jin de l’aw :.ens deYant les fauz Di~ .
des rochen de R.aokooda. Tavernier. Une ef~ On dit adverbWeœeot , ’I :irer un homme à 6rlljfl pournlftl dl peu dlimée, à c :aufe du rifque qu’il 7 ~ la ·· point , .pour dire , le tirer de fi prés qu’on DC Je puiflè aflèr CD la t1ilbnt. On dit mm , Une ma~ de ,,. : manquer.
pierres llrllttl, pour dire, qui ne foot point taillées. On dit auJii daQs un Cens &pré, qu’un ~mene dl i On appdle ado du fuc :re 6r.t, reluy qui n’dl pas af- ~r•Jlt pourpoint, qum ! il ~ fi coov•aat, qu’on 6né.
n’y peut ré~
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B Il v T , fe dit aufli figurément d’un ~etui dl en Ba u s L E & , {edit~ en plu6eurs pbrifes. brouillon , qu’on n’ :a pu le loifu de limer & dé polir. Gr :Uflèz les bours’ d’un Yi1ain , il cfir.a qu’on b luy 1 R U T A L , A L li. adj. Celuy cF a des appetits clé.. ~rujlt , pour dire, qu’il y a des gens cp ne (t) !lftOjdènr q~ez,. iUÎ vit en belle , ou cp n a pas plus d’d'prit & flS les bOns offices qu’on leur reDd. 0. . dit .ai, qu’un. deœadaitte qu’une belle. Lea fof’dm pour b plus-pm nomme llrujl.t fa cbmdelle par la.deux bouts, pour di- I .Out ck vraia lr~. un débcwché n’a que des appetits re, qu’il fm dea defpenccs de plaf~eut~ fortes qui Je mi- .......,,
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neront bicntoft. Ondit aul6, CJU’il s’dl mm.blrJir à 8 a u T.u•. J Ul E H-1’. -adv.~D’une manÎielc brutale.. Un hdundelle, quandJldfottid’un Jicq où il~ t’tl , Juariaavit~. ua~~.,.,..,
feumé, pour lèvmirbire prendre en Wl ..- e. On (aefdato. .
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dit, que lac :baodeUe fe.,.,~ qumd OO~fiD aa. UT ALITE’. Cf. ,Aaioad’un ..... ~fol.. homme de .doubler le pas ·P ?W’ arriver de joar au pœ. cl :$ rommcamr de gfllldes 6r~ cpad oa leur Onditautli, que le rotHe"’•-"• .JIOIII’ admtir cpd- :ababdoaneannUkau~. ret yvrogoe a clic cent CJU’un d’ :u :hevei viftement uoe ~~pour làng.« ~une ~à foa~ œthoaanle s’cft ~apréa
autre plus import :ame qui cepcodmt deperit. On. dit, hOir atrom Ca mutitl. ·
auffi entre jolicun, que le tapis ~. , pqur. Q (l t er . •
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BR a T E. L( & :ldj. Bdldcpwre pieds .’.P.fe.nourquelqu’un àmettre au jeu. Oo •• Je~ à ritcnbroutantdel’habe. L’hommen’eftd~~é des ~t de cette aftàite , œ j’yhr•JnAJ mes. lina ’. ~. .
m,,s que par la r.aifon. Oo dit aulli , une belle .,.,, ; a :re, Je la veux pourfume avec la derniere ·op~- & Ggurémentd"un hocDmc W. cfpnr, que (cft IIUC te. < ?ndit, qu’urihomme,tc}tàpetit iu, ~il befie·~fftl.
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hnga :tapi-ês~cbofe importante cpa’œ llJya~t 81UT lE.R. f.an. Oihcle~ Oactitcp :d’uo ef1•erer • & qui ne vient point. · . · llf’•rin on ~ fçauroït &ire un efpreTÏa’, ~ diœ , Bau Hi, i&. pan.&adj. Onditdel’e :a&adcrie 6r•f- qu’on nefçauroiuendref~ bQmmc :n&~ ·ce - ~
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