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TABLE ANALYTIQUE.


Adoption. L’adoption a eu pour principe le devoir de perpétuer le culte domestique, pages 55, 56 ; — n’était permise qu’à ceux qui n’avaient pas d’enfants, 56, 57 ; ses effets religieux et civils, 87.

Affranchis. Droit que les patrons conservaient sur eux, 319 ; leur analogie avec les anciens clients, ibid.

Agnation. Quelle sorte de parenté c’était, chez les Romains et chez les Grecs, 60, 125.

Agni, divinité des vieux âges dans toute la race indo-européenne, 25, 26.

Aînesse (Droit d’), établi à l’origine des sociétés anciennes, 91-93 ; disparaît peu à peu, 304 et suiv.

Ambarvales, 72.

Amphictyonies, assemblées religieuses plus que politiques, 250, 251.

Ancêtres (Culte des), 15-20.

Annales. Usage général des annales chez les anciens ; elles étaient rédigées par les prêtres et faisaient partie de la religion, 200-202.

Archives des villes, 203.

Archontes des γενη, 119, 150, 286. Archontes des villes, 214 ; le titre d’archonte était d’abord synonyme de celui de roi, 206 ; fonctions religieuses des archontes, 214 ; leur pouvoir judiciaire, 223 ; comment ils étaient élus, 216, 217 ; leur autorité est peu à peu réduite, 386, 397 ; ce qu’ils deviennent sous l’empire romain, 457.

Aristocratie. Aristocratie héréditaire des patriciens, des Eupatrides, des βασιλεις, des Géomores, etc., 270-275, 299-301. La distinction des classes est d’abord fondée sur la religion, 281 ; l’aristocratie de naissance s’appuie sur le sacerdoce héréditaire, 296, 297. Cette aristocratie disparaît plus tard, 334 ; il se forme une aristocratie de richesse, 389 et suiv. Aristocratie Spartiate, 284-286, 417-418.

Armée. Actes religieux qui s’accomplissaient dans les armées grecques et romaines, 194-198. L’armée était organisée primitivement, comme la cité, en gentes et en curies, en γενη et en phratries, 148. Changements opérés par Servius Tullius dans la constitution de l’armée, 321, 345 ; sens du mot classis, 344 ; en Grèce, comme à Rome, la cavalerie était un corps aristocratique, 329, 330. La nature de l’armée change avec la constitution de la cité, 330. L’armée romaine forme une assemblée politique, 346. Pendant le règne de la ploutocratie, en Grèce comme à Rome, les rangs dans l’armée furent fixés d’après la richesse, 389, 390.