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Asile. Ce que c’était, 156, 278.

Assemblées du peuple. Elles commençaient par une prière et un acte sacré, 192, 399-401. Assemblées par curies, 274, 291. Assemblées par centuries, comment on y votait, 295 ; l’assemblée centuriate n’était pas autre chose que l’armée, 344-846. Assemblées par tribus, 357. Assemblées athéniennes, 399-404. Assemblées Spartiates, 419.

Athènes. Formation de la cité athénienne, 149 — 151, 286 — 288 ; œuvre de Thésée, 286, 287 ; royauté primitive, 207, 210 ; aristocratie des Eupatrides, 270, 287 ; abolition de la royauté politique, 289 ; domination de l’aristocratie, 289, 297-298, 313-314 ; archontat viager et archontat annuel, 289, 290 ; l’archonte-roi, 290. Caractère athénien, 257 et suiv., 401 ; superstitions athéniennes, 258. Tentative de Cylon, 335 ; œuvre législative de Dracon, 378 ; œuvre de Solon, 316-318, 336, 379-382 ; Pisistrate, 337 ; œuvre de Clisthènes, 338-339. Domination de l’aristocratie de richesse, 337 ; progrès des classes inférieures, 392 et suiv. Les magistratures athéniennes, 397, 398 ; l’assemblée du peuple, 399-404 ; les orateurs, 400-402 ; l’armée athénienne, 391 ; caractère de la démocratie athénienne, 412, note.

Auspices. Mode d’élection des magistrats par les auspices, 217-218, 385-388.

Calendrier chez les anciens, 188.

Célibat, interdit par la religion, 51, 108 ; interdit par les lois, 51.

Cens, recensement, lustration, cérémonie religieuse dans les cités anciennes, 189. Transformation du cens, 344.

Censeurs. Origine et nature de leur pouvoir, 191 ; leurs fonctions religieuses, 216.

Chevaliers romains, 345, 389.

Christianisme, son action sur les idées politiques et sur le gouvernement des sociétés, 472 et suiv.

Cité. La cité se forme par l’association des tribus, des curies, des gentes, 146 et suiv. Exemple de la cité athénienne, 149-152. Religion propre à chaque cité, 182 et suiv. Ce que l’on entendait par l’autonomie de la cité, 240-244. Pourquoi les anciens n’ont pas pu fonder de société plus large que la cité, 241-243. Puissance absolue de la cité sur le citoyen, 263 et suiv. Affaiblissement du régime de la cité, 445 et suiv. La conquête romaine détruit le régime municipal, 454 et suiv.

Citoyen. Ce qui distinguait le citoyen du non-citoyen, 230-231, 462 et suiv.

Clients. Ce que c’était à l’origine, 131-133 ; — étaient distincts des plébéiens, 275-276, 322 ; leur condition, 271 et suiv., 309 ; ils figuraient dans les comices par curies, 274 ; leur analogie avec les serfs du moyen âge, 308 ; leur affranchissement progressif, 306, 310 et suiv. ; ils deviennent peu à peu propriétaires du sol, 308, 312 ; comment ils le sont devenus à Athènes, 314-318 ; comment ils le sont devenus à Rome, 318, 321 ; disparition de la clientèle primitive, 313, 322-323 ;