Page:Géhin - Gérardmer à travers les âges.djvu/275

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« Paxion, père et fils, pour la potasserie, le salin, la potasse ;

« Garnier, père, pour la vaisselle de bois ;

« Garnier, fils, id. et les toiles ;

« Demangeat, pourle commerce extérieur.

« Les fromages, denrées du pays, sont de la main de plusieurs personnes.

« Étienne Viry commence à se distinguer dans plusieurs parties, ainsi que Gabriel Jacquot et J.-Jacques Viry, et particulièrement Simon Viry, pour le bétail de toute espèce. »

Une délibération de l’assemblée municipale du 27 Brumaire an III, relative à la création d’un nouveau chemin de Gérardmer au Valtin, depuis la, Pierre-Charlemagne (par la Roche-du-Page), énumère les produits du pays qui font l’objet du commerce d’exploitation. Ce sont « le bétail, les fromages, le bœur (beurre), la poix blanche, la vaisselle en bois, les cuveaux, les tendelins pour la vendange, les sabots, les boëttes, les linges, charpie et draps en pansement[1]. »

Débits de boissons, tavernes

Comme nous l’avons vu précédemment dans les comptes des commis, la commune de Gérardrner avait un vend et une misne à elle ; pour les liquides, elle possédait des mesures en étain, déposées dans l’armoire aux archives, savoir : la pinte, la chopine, le chopelet, le chopelet et le de chopelet.

Des mesures analogues étaient en usage chez les débitants.

  1. Archives communales postérieures à 1789.