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nances, furent plus fréquentes à la fin du XVIIIe siècle ; voici celles qui sont relatées sur le registre dit « de bourgeoisie[1] »:
1775. | Jean-Joseph Henry, venant de Rochesson. Jean-Joseph Valance, ― Gerbépal. |
1776. | Bastien Beidel[2], ― Corcieux. Claude-Matthieu Claudel, ― La Bresse. Jean-Baptiste Gérard, chirurgien, venant du Tholy. Jean-Baptiste Sevrin[3], venant de Gerbépal. Joseph Perrin, ― La Bresse. Nicolas Claudel, venant de Rehaupaux (Rehaupal). |
1780. | Martin Mougel, venant de La Bresse. Amé Perrin, ― ― Jean-Baptiste Cunin, venant de Tholy. |
1782. | Nicolas Houberdont, ― Viménil. Valentin Thomas, venant de Chaudray (Champdray). Joseph Demange, ― Rochesson. François Georges, ― Toli (Tholy). |
1783. | Le Comte[4], ― Granges. Amez Houat[5], ― Tendon. Joseph Demangelle, ― Fresse. |
1784. | George Marion, ― La Bresse. |
1785. | Dominique Grégoire, ― Buvacôte (Bouvacôte). Jean-Nicolas Buffet, ― Tendon. |
1786. | Sébastien Mougin, ― La Bresse. Nicolas Colnel, ― Beillard. Jean-Joseph Boulay, ― Saint-Amé. |
1788. | Ant.-Benoît Claudel, ― La Bresse. |
L’étranger qui épousait une jeune fille de Gérardmer devenait, ipso facto, bourgeois du pays ; aussi beaucoup de nouveaux venus surent-ils par le mariage se soustraire à la taxe de 100 francs.