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(1 008m). — La Roche-des-Bioquets (1 093m). — Grouvelin (1 000m). — Saint-Jacques (1 111m). — Fachepremont (1 020m). — Le Hohneck (1 366m). — La Roche-du-Page (836m). — La Roche-du-Diable (950m). — La Beheuille (1 000m). — Balveurche (1 288m). — Le Grand-Kerné (894m). — Le Haut-de-Miselle (934m). — Le Barrau (1 008m). — La Tête-du-Costet (887m). — La Roche-du-Rain (745m).

Plusieurs cours d’eau prennent leur source sur le territoire de Gérardmer ; tels sont : La Meurthe, Le Bouchot, les ruisseaux de Chajoux et de Vologne qui forment La Moselotte, le ruisseau de Cleurie, La Jamagne qui écoule les eaux du lac de Gérardmer (alt. 660m). Ce lac a une superficie de 116 hectares ; il en existe deux autres à peu de distance : celui de Longemer (736m d’alt.), et celui de Retournemer (778m).

La ville de Gérardmer est située à égale distance de Saint-Dié et de Remiremont (29 kilomètres) ; les routes qui traversent Gérardmer sont les chemins de grande communication Nos 8 (1), 11 (1), 47 (2) et 72 (2), de Saales à Mélizey, de Lamarche à Munster, de Rambervillers à Gérardmer, de Remiremont à Gérardmer, et le chemin d’intérêt commun No 83 (1), de Gérardmer au Valtin[1]. Depuis 1878, une voie ferrée relie Gérardmer à la ligne d’Épinal à Lunéville par Saint-Dié.

Depuis le traité de Francfort, la ville de Gérardmer a une partie de son territoire qui sert de frontière, de la chaume du Haut-Chitelet aux Feignes-Charlemagne ; c’est la commune alsacienne de Stosswihr qui est limitrophe.

Les autres confins de Gérardmer sont : au Nord, les communes du Valtin, de Ban-sur-Meurthe, de Gerbépal, des Arrentès-de-Corcieux, de Barbey-Seroux, de Granges et de Champdray : à l’Ouest, les communes de Liézey et

  1. Le Département des Vosges, par M. Léon Louis, t. VI, p. 309.