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Reflets
Bélise au soleil peignait ses cheveux : de sa belle main, avec un peigne d’ivoire ; mais on distinguait moins le peigne dans ses doigts qu’on ne voyait se ternir le soleil dans ses cheveux.
Tandis qu’elle était là, à les laisser retomber, le cristal dont elle foulait ainsi les bords buvait, seul, de ses deux douces étoiles dans des ténèbres d’or les beaux rayons.