Page:Góngora - Vingt-quatre Sonnets.djvu/53

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Philène cependant, mélodieusement, se plaignant des heures, invoquait les faveurs de la divinité du troisième ciel :

« Amour, qu’il sera vain, mon bonheur, si ce que je dois aux plumes de ton carquois ne l’attisent point les plumes de ton aile ! »