Page:Gaboriau - Monsieur Lecoq, Dentu, 1869, tome 1.djvu/281

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— Même, ajouta-t-elle, en regardant son mari, tu devrais te rappeler que la marquise ne nous avait donné que neuf mille francs comptant, et que nous avons eu toutes les peines du monde à obtenir le solde.

Le mari se souvint en effet de ce détail.

— Maintenant, dit le jeune policier, je voudrais bien avoir l’adresse de cette marquise.

— Elle demeure au faubourg Saint-Germain, répondit Mme Doisty, près de l’esplanade des Invalides…