Page:Gaboriau - Monsieur Lecoq, Dentu, 1869, tome 1.djvu/365

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nant qu’il a un plan et de l’argent, car il a l’un et l’autre, l’ancien, j’en mettrais la main au feu.

À ce moment même, comme si le prévenu eût tenu à donner raison à une partie des soupçons de Lecoq, il entra dans un bureau de tabac et en sortit un cigare à la bouche.