Page:Gaboriau - Monsieur Lecoq, Dentu, 1869, tome 1.djvu/430

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agent de la sûreté, tu serais brisé comme verre ! Prends garde, ô mon fils ! ne t’attaque pas au duc, je ne répondrais même pas de ta vie.

Le jeune policier hocha la tête.

— Oh !… je ne m’abuse pas, dit-il. Je sais qu’en ce moment le duc est hors de mes atteintes… Mais je le tiendrai le jour où j’aurai pénétré son secret… Je méprise le danger, mais, je sais que pour réussir je dois me cacher… je me cacherai donc. Oui, je me tiendrai dans l’ombre jusqu’au jour où j’aurai soulevé le voile de cette ténébreuse affaire… alors j’apparaîtrai. Et si véritablement Mai est le duc de Sairmeuse… j’aurai ma revanche.




FIN DE LA PREMIÈRE PARTIE