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ÉPILOGUE.

signant celui qui se sert d’épodes (ἐπῳδαῖς, enchanteur). Chez les poëtes méliques, que quelques-uns appellent aussi lyriques, il y a la strophe, l’antistrophe, et un troisième morceau, l’épode, qu’on chante debout devant les autels, pour célébrer les Dieux, ainsi qu’on le dit. Comparant donc ce dernier livre à une épode, je lui ai donné ce nom.