Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Mais les cieux paternels abritaient mieux ma peine ;
Et l’étranger n’a pas, aux rives de la Seine,
D’asile pour les maux du cœur.
Aux rives de mon lac je croyais à la gloire ;
D’avenir et d’espoir l’amour m’avait bercé.
L’amour ! — Je n’y crois plus. Mon cœur est délaissé ;
La gloire me dédaigne… Oublie, ô ma mémoire,
Les tristes rêves du passé !
Paris 1828.