Ensuite il fit un discours en polonais à ses compatriotes : « Ces fragments maintenant exilés, dit-il, d’une grande nation, distinguée par son amour de la patrie et par ses malheurs. » Je dus contribuer à la célébration de ce premier anniversaire funèbre par quelques vers que je lus, et qui commençaient ainsi :
« On nous disait : Son règne recommence, |
Il y avait déjà quelque temps que M. Bédard était de retour à Londres.
M. Bédard était le fils de ce patriote inébranlable des temps de Craig, dont